Idées d'un amateur de fantasy

Voilà, j'ai finalement décidé de créer un blog. Mais ici ,je ne raconterai que très peu ma vie avec un luxe de détails. Je me destine à écrire un jour de la fantasy. Je vais donc parler ici des livres que je lis ,des idées que j'ai ainsi quelques éléments de ma vie.

dimanche, janvier 29, 2006

Difficulté du fantastique.

Mais le deuxième le plus dur, c'est le fantastique. A première vue, certaines personnes pensent que c'est le plus simple à mettre en place. On connaît l'univers et souvent les canons du fantastique (vampires, loups garous, esprits, possesion, pouvoirs parapsychiques )
Mais la réalité est plus complexe…
Ainsi, pour écrire CORRECTEMENT du fantastique, il faut connaître le monde et le lieu de l’action.

Il s’agit en effet d’écrire quelque chose de réaliste. Même si l’on peut créer une ville, cette ville doit être rattachée à la réalité, avec ses voitures, ses téléviseurs, ses radios etc….
Je prends l’exemple des deux meilleurs écrivains de fantastique que je connaisse : Anne Rice (http://fr.wikipedia.org/wiki/Anne_Rice) et Stephen King (http://fr.wikipedia.org/wiki/Stephen_King);
Ces deux auteurs ont écrit tout (ou presque) leurs romans dans l’endroit où ils vivaient : La Nouvelle Orléans pour Rice, et le Maine (souvent Bangor) pour King.
Cela les aide grandement pour leurs descriptions. Stephen va beaucoup plus loin, en exploitant une grande connaissance de l’Amérique profonde. Ainsi, on trouve de nombreuses références à des marques de vêtements, de voitures, des radios, des émissions de télé, des chansons classiques en Amérique…
Un bon auteur de fantastique se doit de connaître beaucoup de choses…
Hors, j’habite pour ma part dans un vrai trou paumé, et dans mon esprit, la France se prête mal aux histoires que j’ai élaborés…
Je m’aperçois donc de la difficulté de l’écriture fantastique.
Enfin, venons en au dernier genre que j’envisage : la fantasy.

De la difficulté de la SF.

Alors, aujourd'hui, une grande interrogation.
En décidant de me remettre à l'écriture, de nombreux problèmes se posent...
Mais sans parler de cet aspect, il faut souligner une certaine difficulté dans l'écriture.
La question des genres :
J'écris quatre types de genres : Fantasy, Fantastique, S-F et enfin un soupçon de pseudo historique.
Mais quel est le plus difficile ?
Selon moi, dans un ordre décroissant de difficulté, le premier est la SF.
Surtout si on regarde la Hard Science, où la plupart des écrivains ont une vaste connaissance scientifique. C'est bien là la difficulté de la SF, on se projette dans l'avenir et cela doit être le plus réaliste possible.
Pas de Magie dans la SF, parfois des pouvoirs télépathiques ou des aptitudes génétiques...
On doit ensuite faire un choix : Aliens ou pas ? Car s'il y en a, il faut être en mesure de leur créer une culture et surtout, le plus dur, pour moi, une apparence. Il n'est pas question en SF de créer des monstres comme dans les dessins animés : des créatures grotesques à tentacules, avec 10 yeux... De plus, il s'agit de créer des vaisseaux et de nouvelles technologies. C'est donc, slon moi, le genre le plus difficile

dimanche, janvier 22, 2006

Retour sur scène

Voilà, je suis revenu après une longue absence. Tout d'abord, Bonne Année !!
Il y a tellement de choses qui se sont passées depuis la dernière fois que j'ai posté sur ce blog...
J'ai été pris ces derniers temps par un forum de role play. Vous connaissez certainement le concept. Non ? Bon, alors, je résume : vous incarnez un personnage que vous inventez vous même, et ensuite , vous le faites vivre, parler avec d'autres joueurs... Tout ceci par l'écriture, puisque vous êtes sur un forum. Etant donné que c'est un autre moyen d'écrire, je trouve que c'est une expérience intéressante.
En voilà que j'apprécie beaucoup, fait par mon meilleur ami (mais non, Kael, je ne te lèche pas les bottes ) http://urbanfantasy.darkbb.com
Je vais rien vous raconter, allez simplement y jetter un oeil.

Bon, de nombreuses choses se sont passées... Par exemple, j'ai décidé de recommencer à écrire.
Je me suis en effet arrêté pendant un an à la suite de ce que j'ai considéré
1 : comme un échec
2 : comme la preuve que je ne deviendrai jamais écrivain
J'explique : j'ai écrit une nouvelle, ma seule oeuvre achevée. Je l'ai présentée à un concours et j'ai perdu.
Bien sûr, j'ai conscience que ce n'était pas la meilleure ... mais...
Si je ne fais pas le poids face à 40 gamins (je sais, j'en suis un aussi....) comment pourrais je le faire face à des milliers d'adultes déterminés à être publiés ?
Malgré tout, j'ai décidé de continuer, car comme on dit, tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.

J'ai commencé à me replonger dans l'univers de Méphistium dont je parlerai plus loin.