Fin de la réflexion
Venons-en au genre de la fantasy... Alors, est ce le genre le plus difficile ou pas ?
Finalement, après réflexion, je me pose toujours la question.
On peut considérer la fantasy comme un genre facile car elle ne demande qu’une chose
: de l’imagination ; de la fantaisie, justement !
Il s’agit de créer un monde ou de modifier le notre... Et finalement, la capacité de créer est une capacité humaine, la capacité de se représenter son monde, voire de représenter d’autres mondes, d’autres temps. L’Art est l’exemple même de ce que je dis : d’où vient la musique, les peintures, la danse, les monuments, et les romans, si ce n’est du cerveau humain...
Enfin bon, il suffit juste de trouver le monde à créer au fond de son cerveau, mais surtout au fond de son âme, de ses tripes. L’univers que l’on crée en fantasy peut exprimer ses plus grands désirs, mais aussi ses plus grandes peurs... L’écriture n’est pas quelque chose d’objectif, on y met son existence, sa vie, ses sentiments et nombres d’écrivains, consciemment ou pas, s’inspirent des personnes qu’ils ont connus pour leurs personnages..
Mais la difficulté est justement dans cette capacité que nous avons. Nous ne sommes pas tous égaux au niveau. On a plus ou moins d’imagination. Mais le vrai problème, c’est le plagiat. Aujourd’hui, tout a été fait en fantasy. On pourra toujours trouver des similitudes avec telle ou telle œuvre en cherchant bien. Il faut donc trouver la petite chose, la seule et unique qui différencieras votre histoire des millions d’autres...
Souvent, cette petite étincelle résidera dans votre style, mais aussi dans vos personnages, dans votre vécu et des émotions que la personne ressent à la lecture.
Cette étincelle ne s’apprend pas. Une œuvre de fantasy l’a ou ne l’a pas.
Mais ce qui réunit tous ces genres, ce qui fait la vraie difficulté de l’écriture, c’est le style, c’est le vécu. La partie de son âme que l’on met dans un roman. Une nouvelle est écrite pour représenter un état d’esprit à un moment T. Un roman, une œuvre, c’est beaucoup plus que ça.
Finalement, après réflexion, je me pose toujours la question.
On peut considérer la fantasy comme un genre facile car elle ne demande qu’une chose
: de l’imagination ; de la fantaisie, justement !
Il s’agit de créer un monde ou de modifier le notre... Et finalement, la capacité de créer est une capacité humaine, la capacité de se représenter son monde, voire de représenter d’autres mondes, d’autres temps. L’Art est l’exemple même de ce que je dis : d’où vient la musique, les peintures, la danse, les monuments, et les romans, si ce n’est du cerveau humain...
Enfin bon, il suffit juste de trouver le monde à créer au fond de son cerveau, mais surtout au fond de son âme, de ses tripes. L’univers que l’on crée en fantasy peut exprimer ses plus grands désirs, mais aussi ses plus grandes peurs... L’écriture n’est pas quelque chose d’objectif, on y met son existence, sa vie, ses sentiments et nombres d’écrivains, consciemment ou pas, s’inspirent des personnes qu’ils ont connus pour leurs personnages..
Mais la difficulté est justement dans cette capacité que nous avons. Nous ne sommes pas tous égaux au niveau. On a plus ou moins d’imagination. Mais le vrai problème, c’est le plagiat. Aujourd’hui, tout a été fait en fantasy. On pourra toujours trouver des similitudes avec telle ou telle œuvre en cherchant bien. Il faut donc trouver la petite chose, la seule et unique qui différencieras votre histoire des millions d’autres...
Souvent, cette petite étincelle résidera dans votre style, mais aussi dans vos personnages, dans votre vécu et des émotions que la personne ressent à la lecture.
Cette étincelle ne s’apprend pas. Une œuvre de fantasy l’a ou ne l’a pas.
Mais ce qui réunit tous ces genres, ce qui fait la vraie difficulté de l’écriture, c’est le style, c’est le vécu. La partie de son âme que l’on met dans un roman. Une nouvelle est écrite pour représenter un état d’esprit à un moment T. Un roman, une œuvre, c’est beaucoup plus que ça.
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